Trattoria napoletana

Des antipasti à tomber, des plats goûtus et raffinés, une panna cotta au café juste parfaite, des palourdes délicieuses, des produits de qualité - parmesan, huile et vinaigre, et un cadre authentique de la vraie trattoria italienne : que du plus pour cette Madonnina qui se niche près du canal Saint-Martin et de l'hôpital Saint-Louis.

La Madonnina, 10 rue Marie & Louise, Paris Xe.

Chez Chartier

Enseigne incontournable du quartier des Grands-boulevards, où l'on ira plus pour l'ambiance du bistrot à l'ancienne que pour la nourriture très basique et sans fioriture : on y trouve dans l'assiette ce qu'on lit sur la carte. Le service est rapide et gouailleur, le va-et-vient des serveurs la serviette sur le bras donne le tournis, et le lieu est tout bonnement étonnant : enfilade de tables remplies de clients bruyants et joyeux, une multitude de casiers où les clients avaient leur serviette attitrée… on se retrouve dans une athmosphère début de siècle. 

Chez Chartier, 7 rue du Faubourg-montmartre, 9e

Mon saint-nectaire

Retour de vacances, retrouvailles, cadeaux : je me vois offrir un demi saint-nectaire beau, moelleux, goutu, que du bon !

La bonne table d'Oberkampf

Très bonne adresse que Le Villaret, pour les fines bouches et amateurs de bon vin. Pour commencer en beauté, une mise en bouche de crème de potiron sera suivie de délicieuses ravioles d'écrevisse à la mousse safranée, une émulsion délicate et parfumée, un régal de saveurs ! En plat principal, des côtes de sanglier aux champignons et pommes de terre légèrement sucrées et fondantes, et enfin un incroyable plateau de fromage servi dans un garde-manger. Tout ceci accompagné d'un magnum de Saint-Joseph cuvée 2001, tout simplement divin ! La carte des vin est d'ailleurs très dense et variée. Le restaurant change quotidiennement de carte, avec une bonne huitaine de plats, et autant d'hors-d'œuvre, et propose également un menu truffe qui semble incroyablement bon.

Le Villaret, 13 rue des Ternaux, Paris XIe

Les œufs cocottes à la crème d'olive

On casse les œufs dans des ramequins, on y ajoute la crème fraiche, du gros sel, de la crème d'olive, des copeaux de parmesan, un poil de piment pour relever le tout, et on dispose du basilic frais après la cuisson (10 petites min. au four).

Au Vieux Chêne

Voilà une enseigne qui vaut le détour, nichée au 7 de la rue Dahomey dans le 11e. Ambiance rustique sobre, le patron est charmant, et n'hésitera pas à détailler sa carte des vins et à vous les faire goûter lorsqu'ils sont au compteur. Car cette carte est riche de vins de nombreuses régions, notamment du Languedoc-Roussillon, et nous portons notre dévolu sur un Faugère Saint-Antonin, aux tanins fumés, aux goût de fruits mûrs et épices, et au terroir schiste. Il accompagnera en entrée une crème de coco aux marrons confits et à l'huile de noix sauge et lard artisannal fumé, en plat une poitrine de cochon fermier croustillante aux trompettes de la mort et sa purée maison, et en dessert des cigarettes d'amandes et crème de citron. Un repas délicieux dans un cadre agréable. Réservation 01 43 71 67 69


Au Vieux Chêne, 7 de la rue Dahomey, Paris XIe

La variante du Pavlova

Le dessert que Philippe nous prépare ce soir, le Pavlova, porte le nom d'une danseuse du Ballet russe, Anna Pavlova. À l'origine à base de meringues, fruits rouges et crème fouettée, il sera ce soir composé de biscuits roses de Reims émiettés dans un verre, puis de mangue et menthe, et enfin de crème chantilly et sucre roux.

Poulet Massala

Les copains voyagent et reviennent avec des recettes de petits plats exotiques ! Celui-ci est indien, et plein de saveurs apportées par les épices. Les morceaux de poulet sont revenus avec aubergines et oignons dorés, les épices se bousculent, cardamone, curcuma, badiane, auxquelles sont ajoutés des pistaches concassées, des pignons de pin et des raisins ; la coriandre apporte de la fraîcheur à ce plat parfaitement épicé, ni plus ni moins. Merci Gwladys pour ce voyage culinaire !

Cadeaux gourmands

Les habituels petits pâtés de La Comtesse du Barry, qui me ravissent toujours autant ! Et une bouteille de Chartreuse ramenée de la région d'Aix-Les-Bains. Cette liqueur est depuis 1605 fabriquée par les moines, les Pères Chartreux. Verte, à 55 °, elle est considérée comme la liqueur de santé, pour ses vertues d'elixir de vie. On retrouve l'histoire de la Chartreuse ici.

Poulet de Bresse

Le volailler nous a vanté les saveurs de son poulet de Bresse, qui s'est avéré fort bon, cuit au four au milieu de pommes de terre, et servi avec des petits navets, oignons et carottes revenus, et une sauce aux morilles. Tout ça arrosé d'un Saint-Esthèphe. Une petite idée ici de cette variété de poulet.

Le retour du canard

Eh oui j'en reparle déjà, forcément, car ces derniers magrets et aiguillettes proviennent également de ce toujours aussi excellent producteur breton, forcément j'en reparle ! Dés de panais et potimarron ajouteront délices à ce met ! A boire avec ce formidable vin libanais, Les Emirs du Clos St-Thomas.

Vin festif

Bien approprié pour accompagner un foie gras, ce vin liquoreux hongrois, le Tokaji, réveille les papilles endormies !