Un œuf cocotte plus hivernal par son apparence que par son contenu, à savoir du chutney pommes & échalotes, et du parmesan. La technique est toujours la même, on la trouve ici, là ou encore là. Ou là, là et là… oui j'adore les œufs cocotte, et alors ?
vendredi 29 janvier 2010
jeudi 28 janvier 2010
Love & wine
Voilà un vin de circonstance qui m'a plu. Le Clos d'Amour 2006 est un vin du Sud-Ouest, boisé, aux notes chocolatées et poivrées et aux arômes de fruits noirs. Un vin de caractère qui reste doux néanmoins, que j'ai découvert aux Enfants Perdus, une jolie adresse près du canal Saint-Martin.
lundi 25 janvier 2010
Raclette party
Le restaurant/bar Le Faitout, 23 avenue Simon Bolivar (dans le 19e à Paris) propose tous les lundis d'hiver un plat unique : la raclette. Le principe est simple et convivial, on va se servir au fond de la salle, autant de fois que l'on veut, et pour le fromage et les pommes de terre on passe par la cuisine. De quoi passer une soirée comme à la maison, dans un endroit chaleureux et accueillant.
samedi 23 janvier 2010
Penne gratinées aux girolles & pomarines
Pour les penne gratinées aux girolles & pomarines3 pomarines
400 g de penne semi-complètes / un bol de noix concassées / un bol de girolles séchées / copeaux de parmesan / comté râpé / 10 cl de crème fraiche semi-épaisse / huile d'olive / sel, poivre / persil frais
Mettre les pomarines au four entières pendant 25 à 30 minutes. Pendant ce temps, faire cuire les pâtes al dente avec du gros sel et les girolles séchées. Égoutter, réserver. Ouvrir les pomarines, enlever les graines et récupérer la chair. Dans un plat à gratin huilé, mélanger les pâtes, la crème et les morceaux de pomarines, saler, poivrer, déposer un filet d'huile d'olive, les noix, le parmesan et le persil. Terminer par une fine couche de comté râpé, et passer au four dix minutes jusqu'à ce que le plat gratine.
mercredi 20 janvier 2010
Galette revisitée chocolat-amandes
Voici une recette que j'ai vue sur le blog de Chef Nini, fourrée à la crème d'amandes et au chocolat. Un vrai plaisir de gourmandise, une découverte à tomber ! Je rêve encore qu'il m'en reste une part… Personnellement je n'ai pas fait mes pâtes feuilletées : je les ai achetées chez Picard, pur beurre, les meilleures industrielles que j'ai trouvées jusqu'à présent ; et je n'ai pas mis d'extrait d'amande amère, en revanche j'ai rajouté 40 g de poudre d'amandes. Et l'on peut également verser une cuillère de rhum brun à la préparation chocolat-amandes pour relever le goût.
Cailles normandes rôties au pommeau
Ces cailles ramenées par Jan proviennent directement de la ferme de son voisin en Normandie, et sont bien dodues et tendres. Nous leur réservons un sort bien approprié, les accompagnant de châtaignes, de potimarron et de pommes, ces dernières apportant un côté acidulé et sucré au plat, mais aussi l'appellation "à la normande". D'autant que ces cailles cuisent au pommeau, spécialité régionale à base de gnôle (calvados) et de jus de pomme.
Pour les cailles normandes rôties au pommeau
3 belles cailles / 3 pommes / un bol de châtaignes pré-cuites / 3 échalotes / 3 c.s. de miel / beurre / huile d'olive / sel, poivre / une demi bouteille de pommeau / 300 g de potimarron
Saisir les cailles à feu vif avec du beurre et de l'huile dans une cocotte, sur toutes les faces. Arroser de deux verres de pommeau, déposer les marrons autour, et faire mijoter vingt minutes à couvert. Ajouter les pommes et le reste de pommeau, ainsi que le miel, et faire cuire de nouveau 10 minutes à feu plus fort et à découvert. Pendant ce temps faire revenir dans une sauteuse des dés de potimarron avec du beurre et de l'huile, à feu moyen, pendant 20 à 25 minutes.
dimanche 17 janvier 2010
Pêché mignon
Voici de délicieux marrons glacés que l'on m'a offerts, provenant de la confiserie Thurotte de Clermont l'Hérault. Croquants puis fondants, sucrés, ils valent le détour.
samedi 16 janvier 2010
Chez Cartet
À peine un pied à l'intérieur, et l'on ressent quelque chose de particulier, un moment unique, presque privilégié. Peut-être le fait d'être les seuls clients du restaurant rend l'atmosphère atypique, à la fois intime et intimidante, ajouté au fait que c'est mon jour d'anniversaire, qu'il s'agit d'une surprise, et qu'en passant devant le restaurant celui-ci était éteint… et fermé. D'ailleurs à peine entrés que le patron referme à clé dernière nous. Pas question d'attirer les foules dans ce minuscule resto que seuls les initiés connaissent. Notre unique présence témoignera de l'attention entière du patron à notre égard, un véritable délice, qui augmentera au fur et à mesure du repas, tant les saveurs s'accumulent et contentent nos papilles. Rien que l'odeur de chaque plat fait briller mes yeux de ravissement. Après un choix difficile d'entrées et de plats, tant la carte est alléchante, nous entamons le repas par une terrine de porc aux herbes et de savoureux cornichons, mise à notre intention pour nous faire patienter. Viennent ensuite les entrées, Harengs marinés pour monsieur, dont je me rappelle encore la délicate odeur, et Croûte de Morilles pour madame, de généreuses morilles à la crème revenues dans du porto et de l'armagnac, sur un pain brioché toasté. Les plats qui suivent sont à la hauteur de la qualité des produits déjà entamés : un Saucisson de Lyon et pommes vinaigrette fantastique, et un Chateaubriant, morceau au cœur du filet de bœuf incroyablement tendre et fondant, un plaisir à découper et à déguster, servi sur un lit d'échalotes et un gratin dauphinois. Le tout accompagné d'un incomparable Domaine Raspail-Ay Gigondas de 2005, aux tanins délicats et aux parfums intenses et fruités. Les gros appétits se délecteront de la farandole des desserts, servis comme les entrées dans des plats disposés sur la table et à volonté : tarte au citron délicieusement acide, crème caramel, mousse au chocolat et bugnes, île flottante et riz au lait. Une note au final légèrement élevée mais incontestablement justifiée - d'autant que le pourboire n'est pas bienvenu - et qui mérite qu'on se fasse plaisir, une fois n'est pas coutume ! On appréciera enfin l'accueil chaleureux du patron, un mélange de modestie, de savoir-faire et de générosité, dont le seul désir est de faire plaisir au client avant toute chose. Planquée rue de Malte dans le 10e à Paris, Chez Cartet est une adresse discrète pour les amateurs de plats lyonnais préparés toute en finesse, et avec amour !
Chez Cartet, 62 rue de Malte, Paris XIe
Chez Cartet, 62 rue de Malte, Paris XIe
mercredi 13 janvier 2010
Perles japonaises & délice banane
Voici un dessert délicieusement parfumé, à base de graines de tapioca - appelées également "perles du japon" - que j'ai connu dans le restaurant Le Cambodge près du Canal Saint-Martin, le "Délice banane", velouté chaud de tapioca, bananes cuites et lait de coco. Je n'écrirai pas ici de recette car je la fais toujours au feeling, disons que j'utilise environ 2/3 d'une boite de lait de coco (souvent 33cl), la moitié en quantité de lait, ajoutées à 2 cuillérées à soupe de graines de tapioca, et 3 de sucre ; éventuellement une gousse de cardamone ouverte pour parfumer. Je laisse chauffer une dizaine de minutes sans cesser de remuer, et j'ajoute enfin une banane coupée en morceau. Je déguste le tout tiède.
mardi 12 janvier 2010
O & F
Olio & Farina est une enseigne italienne faisant office d'épicerie, traiteur avec quelques produits à prix doux à déguster sur place avec un verre de vin. Une adresse pour se faire plaisir, mais aussi faire des cadeaux gourmands. Au 36 de la rue Keller dans le 11e.
mardi 5 janvier 2010
L'Enchentoir
Voici le vin que j'avais dégusté à la table de la Villa9Trois il y a tout juste un an, un formidable Saumur bio Puy Notre Dame « Enchentoir» 2005 du Manoir de la Tête Rouge, et que j'ai eu beaucoup de mal à trouver. Il vient des Caves de Reuilly, 11 boulevard de Reuilly dans le 12e.
lundi 4 janvier 2010
dimanche 3 janvier 2010
Les rois sont de retour
Faire sa galette est un jeu d'enfant, et l'avantage n'est pas des moindres : on peut doser la quantité voulue de frangipane ! En général je fais ma galette avec une crème d'amandes toute simple, là je me suis inspirée d'une recette qui ajoute à ce mélange une crème pâtissière, qui rappelle la crème aux œufs de ma grand-mère. Le résultat est riche, mais néanmoins très bon et moins écœurant que la crème d'amande.
Pour une galette des rois
MÉLANGE À BASE D'AMANDE 1 œuf / 150g d'amandes en poudres / 100g de sucre glace / 100g de beurre ramolli / rhum brun
CRÊME PÂTISSIÈRE 1 œuf / 15cl de lait / 10g de sucre / 10g de maïzena / 1 sachet de sucre vanillé
2 pâtes feuilletées
Préparer la crème d'amandes en mélangeant les ingrédients. À défaut de sucre glace, passer 100g de sucre blanc en poudre dans un mixeur. Pour la crème pâtissière, faire chauffer le lait avec la maïzena et le sucre. Verser le mélange sur le jaune d'œuf, et ajouter le beurre. Mélanger les deux préparations. Disposer une pâte sur une plaque recouverte de papier sulfurisé, déposer la crème au centre, ne pas oublier d'y mettre une fève, et recouvrir de la deuxième pâte. Souder les bords en les humidifiant. Faire de jolis dessins sur le dessus, et passer un jaune d'œuf battu au pinceau pour que la galette soit dorée. Mettre au four T7 30 min.
Pot-au-feu
Un plat d'hiver idéal pour l'après-fêtes, qui reste léger tout en étant savoureux et complet. Au gîte de bœuf et plat de côtes s'ajoutent les os à moelle et les joues, ayant cuit dans un bouillon composé de délicieux navets, de céleris et carottes du jardin, et d'herbes - thym, laurier, persil, et quelques épices (poivre noir, gros sel, clou de girofle…). L'odeur a empli la cuisine dès le matin, et ce jusqu'au déjeuner, après quelques heures de cuisson.
samedi 2 janvier 2010
Cailles au foie gras
Les fêtes se prolongent un peu en ce premier week-end de l'année. Ces délicieuses cailles du volailler sont farcies au foie gras, servies avec des tagliatelles et accompagnées d'un Montagne Saint-Emilion 2005 du Château, un vin "puissant, riche et onctueux".
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